Début juin, au crépuscule, vers 21:30, le parapet du pont de la Guillotière (1958) s'éclaire en premier, devançant de 2' 24" 26'" l'allumage de ses réverbères. C'est dans ce bref intervalle que la lumière du pont est la plus belle, la plus fluorée, la plus "électrique", avant de basculer pour la nuit, diluée par les lumières parasites, vers une lueur pastel, vert d'eau, neutre, douce mais "éteinte". Cette pâle clarté des Fleurs du mal.
lundi 15 juin 2015
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