Je suis allé faire mon Lévi-Strauss à Ambert car j'aime les voyages et les explorateurs. Et la France profonde. Dans cette sous-préfecture du Puy-de-Dôme, réputée pour sa ronde mairie et sa fourme, la poésie se niche là où on l'attendrait le moins : aux cabinets (ici, ceux des Logis de France), pour reprendre ce mot désuet qui me rappelle l'ouvrage de Miller (Henry) : Lire aux cabinets (1952). Heureux tropiques !
mercredi 20 avril 2011
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