Je n'ai jamais accroché aux thèmes de Louise Bourgeois (peut-être suis-je trop jeune encore). Sauf une : "I have been to hell and back. And let me tell you it was wonderfull'. Ou cette autre : "I had a flashback of something that never existed". Mon avis sur l'ouvrage paru dans la remarquable collection vergée Le Promeneur, catalogue de l'ultime exposition de Louise Bourgeois, disparue en mai 2010 à 98 ans, "Moi, Eugénie Grandet", frise donc l'oxymore : VOICI LE LIVRE LE PLUS CHARMING QUE J'AIE TENU EN MAINS CES CENT DERNIÈRES ANNÉES. Je le répète toujours à l'envi : la dernière œuvre d'un artiste est toujours (soyons excessifs) la meilleure. Que n'a-t-elle commencé par là, Louise ?
Le Promeneur, 2010, 16 €
Précédé d'un essai de Jean Fremon.
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